"Il est difficile d'imaginer l'impact fondamental qu'a eu l'apparition du punk rock à la fin des années 1970. J'adorerais revivre un tel changement, mais je ne pense pas que cela se reproduira un jour."
- Penelope Spheeris - |
Un documentaire qui retrace l'histoire du groupe de punk politique Anti-Flag. Le film contient des interviews de musiciens célèbres tels que Tom Morello, Billy Bragg, Tim McIlrath et Brian Baker. Le documentaire montre les défis et les difficultés rencontrés par ceux qui font de la musique politique et consacrent leur vie à l'activisme.
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Une série documentaire américaine en quatre parties. Chaque épisode se concentre sur une époque différente, du mouvement protopunk des années 60 à nos jours, offrant un aperçu complet de l'évolution et de l'impact du punk. La série ne se contente pas de montrer la révolution musicale, mais aussi l'esprit rebelle et l'énergie créative qui ont inspiré des générations et continuent d'avoir un effet tangible sur la culture pop.
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The Godfathers of Hardcore explore l'histoire de Roger Miret et Vinnie Stigma, figures emblématiques du punk hardcore, offrant un aperçu de la manière dont ils ont façonné la scène musicale à la tête d'Agnostic Front.
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Le film RUDEBOY présente l'histoire du légendaire label Trojan Records avec des images d'archives, des interviews et des éléments de fiction, mettant en lumière un acteur clé de la révolution culturelle sur les pistes de danse britanniques à la fin des années 60 et au début des années 70.
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En 1993, GG Allin est décédé d'une overdose d'héroïne à seulement 37 ans – sa mort est devenue un mythe, tout comme sa vie. Le documentaire THE ALLINS, du réalisateur primé Sami Saif, offre un regard affectueux et divertissant sur le quotidien de la famille du chanteur controversé, tout en éclairant d'un nouveau jour l'héritage de l'icône punk.
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The story of the Los Angeles 'Kiss or Kill' music scene (2002-2007). Fed up with the wretched Sunset Strip pay-for-play policies, 'too cool for school' trendiness of the Silverlake scene and apathetic crowds, the bands that made up Kiss or Kill forged their own scene based on great music, cheap booze, low cover, and a mid-western sense of community and friendship. At it's peak, Kiss or Kill had more than 60 bands in its roster and over 1,000 local L.A. fans. But as Kiss or Kill grew and became more popular, it fell victim to the same 'venue-isms' of other L.A. clubs and eventually became the very thing it was fighting against.
Bande-annonce
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